________________________________________
Toujours tendre m’est ce verger
Aves toutes se couleurs,
Ses arbres fruitiers.
Et cette haie
Qui dérobe aux yeux
Le lointain horizon.
Mais, couché lÃ
Regardant les espaces
Sans limites
Au-delà d’elle, des surhumains.
Silences,
Un calme très profond…
Je forme en mon esprit,
Où peu s’en faut
Que le cœur ne défaille,
Et comme j’entends le vent
Bruire parmi les feuilles,
Cet infini silence-lÃ
Et cette voix
Je les compare.
Et l’éternel, il me souvient,
Et les mortes saisons,
Et la présente et son chant
Par cette immensité
S’engloutit ma pensée,
Et dans ses profondeurs
Il m’est doux de sombrer.
07-02-2009
----------------
Se vouloir libre, c'est aussi vouloir les autres libres