A toi, je compose cette lettre
Pou mieux te chérir peut-être,
De ma plume s’exhale la mélancolie
Et dans mon âme se hisse la folie.

Ici, le charme n’embellit plus
Depuis que tu as disparu,
Dans mon cœur, s’ouvrent des plaies mortes
Et d’un rire cynique, la douleur m’emporte.

Mes joies s’éteignent et meurent
Comme la lueur du dernier bonheur,
O mon amour, O femme sylphide
Réchauffe l’éther de cette pièce vide.

J’ai si froid près de cet âtre funeste,
Froid de ne plus voir tes gestes,
De ne plus sentir, s’épanouirent nos deux bouches,
Dans un ultime baiser d’un désir farouche.


A Elise


Michaël BLAUWART

Je n'ose venir chez toi...pour ne pas troubler cet instant si beau..mais je suis sûre qu'elle lira ces lignes...où qu"elle soit..Amitié.

Bonjour mblauwart, c'est le coeur en berne que ta plume nous offres ces jolis vers. Merci pour ce beau partage. Mon amitié.

Capricorne

J'éspère que ta tristesse ne sera que passagère et que ces douloureux souvenirs s'effaceront bien vite.
HONORE

Comme toujours un très beau poème Michaël, un poème qui étreint le coeur.
Courage, ton étoile veille sur toi là haut

Ghis

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https://www.facebook.com/ghislaine.graffard

au delà de la souffrance exprimée, je retiens cette superbe composition.amitiés

On n'oublie jamais les gens que l'on a aimé... qu'ils soient partis là haut ou partis tout court....
je t'embrasse
Fabienne (si tu me remets... ;-) )

Bonjour,

Ma tristesse n'est que passagère et les blessures éternelles même si Elise est partie il y a longtemps.

Amitiés
Michaël