Dressés devant moi, les remparts du château,
Imposent leurs lois, que je fuis aussitôt.
Vaines sont mes pensées d’un manoir enchanté,
Ici plus que jamais, tous mes rêves sont hantés.
Nulle part où aller pour exaucer mes prières,
Et mon âme a pleuré cet avant, cet hier.


Imaginer une fin sans rancœur et sans heurt,
Dominer le destin, pour occulter le malheur.
Y songer un instant mais revenir au présent,
L’avenir m’appartient, je t’en fais le serment.
Le tombeau accueille tes faux mots désormais,
Et le couvercle enferme tes silences à jamais.

Trés joli lecture, merci mour ce partage !

Amitiés.

Eve-Lyne, Nadine !

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EvE-LyNe

un très bel acrostiche

Une tendre opposition entre cette 'Divine Idylle' et ce texte de douleur.
Merci pour ce partage