Il est un dire des anciens
Celui qui fait un travail qu’il s’y applique
Il doit l’aimer et en faire sien
Lui parler et lui donner la réplique
Maintenant on se vante sur le rien
Par le mensonge on lui fait atteindre le pic
On joue du possessif mien et tien
Et le pauvre on lui colle les tics

Celui qui gêne, on le bouscule sans ménage
Quitte à le bruler par le feu
Les fous exècrent tout ce qui est sage
Et brulent le mot ‘’amour’’ en tout lieu
La haine est devenue à la page
On exige de chacun de faire de son mieux
Il doit extérioriser toute sa rage
Et donner l’apparence d’etre pieux
Ils n’acceptent ; ni dire ni adage
Ils te jettent à la face ; ça c’est vieux

Au pauvre il ne reste que le rêve
Et la vie ne lui fait pas cadeau
Elle lui livre combat sans pitié sans trêve
Elle s’est juré d’avoir sa peau
Epidémie, faim, froid, maux et fièvre
Lui ont fait voler son regard et ses mots

Dieu le maitre tu es le connaissant
De ta lumière fait jaillir la vérité
Il est ceux qui alliés à Satan
Clament qu’ils agissent sous ta clarté

Bonsoir ZAGHBENIFE,

Magnifique poésie emplie de sagesse!



Belle soirée!
Amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)

Bonsoir ZAGHBENIFE

Heureusement qu'il peuvent encore rêver car on leur ôte déjà tant. Les fossés sociaux existent depuis longtemps malheureusement l'écart se creuse encore plus.

Amicalement Franie

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oui heureusement car le rêve est gratuit