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Bonjour Eveidem, belle poésie à la gloire de l'amour parfois amer toujours sublime.
J'ai pris un grand plaisir à me laisser bercer par tes jolis vers. Mes bisous.

Capricorne

Comme il est beau ce poème.."Tu le sais cet amour ?"..Demain tu nous en parleras d'une plume ..légère..et douce..

Quand l'amour n'est qu'illusion...lorsque le manque d'amour est le seul à définir l'amour...c'est douloureux mais tant que le rêve remplit le vide...
Merci de tes mots qui laissent en suspension de l'Amour...
Sophie.

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"Cependant c'est le seul qui ne me paraisse pas ridicule. C'est, peut-être, parce qu'il s'occupe d'autre chose que de soi-même."A.de Saint-Exupéry.

"Le chemin vers le bonheur : gardez votre coeur libre de haine, votre esprit libre de tout souci. ...

L'amour qui ne se remarque pas,
l'amour qui se fait illusion,
l'amour qui guide les coeurs,
l'amour qui fait le bonheur,
l'amour qui donne le malheur.

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chrysalide38


Plume de bonheur, plume de malheur, tu signes mes émotions.

Assez troublant, J'aime beaucoup
Marie

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Mon écrit est parsemé d'eau de rose, je vous en envoie quelques gouttes...


QUAND JE CHANTE
http://www.nrjstudio.fr/studio/marie-18


Mon premier livre "Voyage interieur"...http://www.edilivre.com/doc/85

Oui! L'amour est changean et ta poésie est belle.

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l'amour est à deux faces, et même partagé, si forte est parfois l'intensité qu'il te fait souffrir, c'est bon et douloureux à la fois, enfin perso c'est comme cela que je le ressent.amitiés

l'amour fera toujours couler de l'encre et j'ai beaucoup aimé ton texte

Sublime moment de poésie!
Bravo et amitiés de JP amie Eve.

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Vivre ses rêves

merci amis poètes ..je voulais juste faire une précision ..bien sur l'interprétation est très personnelle à chacun ..mais, .je crois(je suis même sûre ) que j'ai écrit ça pour certains hommes ...ces accrocs des sites de rencontres , qui cumulent les nuits, dans des bras toujours différents...mais qui ne savent rien de l'amour ..
voilà ....

Trés belle poésie, l'amour sous toutes ces formes,

l'amour d'un jour, l'amour pour toujours...

Amitiés
Eve-Lyne, Nadine.

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EvE-LyNe

Une très belle poésie et je suis très touché de tes mots purs! C'est vrai que l'amour doit être sincère puis il y'a ce respect mutuel!
J'ai beaucoup aimé ce texte car aujourd'hui avec ces sites de rencontres: on peut souvent être déçu!
Amitiés
Alain

Eve,
quelle chute!

la seule corde blanche aux gouffres de ses pertes..
La seule femme qui penche son amour pour une perche....

Magnifique eve...
je n'avais pas tout perçu correctement à la première lecture donc,
j'en fus encore plus agréablement surpris à la deuxième...



Bien à toi..

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Le côté sombre fait partie de moi, même si je décide de le fuir. BM

tres joli poème

bravo

freddow

Bonsoir Eve !
Oui, c'est incroyable comme on peut interpréter et éloigner les mots de leurs sens premiers... heureusement que tu y apportes quelques éclaircissements, car j'étais encore à côté de la plaque...
c'est passionnant...
et bravo encore...et encore... (c'est lassant)
Gros bisous

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Calou

Eve,
nous sommes au milieu de la nuit alors je dis ce que je veux
et si c'est une ânerie,
c'est la faute à la nuit.

"Tu les connais ces mots qui ne te touchent pas" : un homme toujours sera touché par ces mots et même s'ils naissent d'une prostituée parce que ce sont deux êtres humains face à face.

"Ces frissons désirés mais qui ne naissent pas" : quand certains hommes s'en viennent toujours voir la même prostituée le jeu des séductions jouent (c'est un mécanisme) et les frissons naissent par cette "confiance" renouvelée ,cette habitude qui prédispose à l'atténuation du cynisme.

"Et qui te laissent seul, sur ta faim et sans joie ..." : combien d'hommes mariés sortent d'entre les bras de leur femme légitime avec ce même sentiment d'avoir été floué.

"Tu les sais ces matins où le ciel est trop bas
Où plus rien ne t'attire en dehors de chez toi,
Le téléphone sonne et tu ne réponds pas...
Et même ton image, tu la supportes pas ! " : cela ressemble étrangement aux sentiments qui oppressent lorsque le dégoût prend le dessus dans sa vie : quand un amour vous a quitté, une dépression trop appuyée, une relation mal assumée (ce qui correspond au contexte de ton poème), le dégoût est le même.

Voilà pour les généralités; maintenant je peux commencer à dire "je" (car évidemment! dans les lignes précédentes, je ne parlais pas du tout de moi).JE regarde cette photo que tu mets en exergue à ton poème qui représente parfaitement (pour un homme ) une possibilité de désir ( ça "sent" son Houellebecq): et cette possibilité est la même que la femme soit vénale ou non ,que le désir naisse de la vue d'un corps, de l'écoute d'une voix (Jeanne Moreau, Fanny Ardant sont pour les hommes des voix éminemment sexuées donc désirables). Lorsque le désir est attisé et réalisé uniquement par le truchement de la voix, il n'y a pas manque forcément ( je ne sais pas s'il faut comprendre que ce "je" auquel je suis passé englobe jusqu'à ces derniers mots).

Enfin , je voudrais te dire qu'en toute chose, c'est l'accumulation qui installe la névrose; tu as tout à fait "raison" dans la description du mal être que tu fais pour les hommes qui n'ont pas le choix de leur sexualité et n'ont d'autre arctefact que celui que tu décris (misère sexuelle des émigrés, des pauvres , des SDFs...).
Par contre lorsque ces "relations" sont passagères, servent à modifier une routine , alors il y a dans ce sentiment de braver quelques interdits comme une jouissance déjà, et de plus la variété dans les "propositions" existantes (comme la voix seule comme cristallisation de tous les autres sens ) permet à une sexualité de ne pas se "scléroser" et, dans ces cas, le sentiment dégoût de soi n'atteint pas à l'incandescence de tes derniers vers.


Voilà,Eve ,ce que ton poème m'a évoqué (il va de soi que tous ces mots n'ont pas pour but de contester le bien-fondé de ton poème, et j'espère que c'est bien ainsi que tu le prendras ).
Mon seul but était de te dire : voilà,Eve , ce que ton poème évoque pour moi; et si je rajoute "tout" ce que cela évoque ,c'est que ce "tout" était déjà dans ton poème ( j'ai un peu peur de ne pas très bien m'exprimer ici et que par voie de conséquence ,tu ne puisses pas bien me comprendre).

Donc ce raccourci :pour moi,ton poème est riche de tout cela,ainsi c'est un compliment clairement formulé.

J'ai commencé par le plus délicat; reste la forme de ton écrit (là,je suis à l'aise, d'emblée,je dis "je").
Et là, c'est un peu affolant ces interpellations répétées
"Tu les connais... Tu les sais ...tu ne réponds pas...
tu la supportes pas ! " : cette insistance dans la désignation, je ne suis pas parvenu à la lire en la prononçant avec douceur, avec compassion mais aucun contraire avec véhémence dans le sens de : tu vois tout cela tu t'y attendais alors pourquoi ne fais-tu rien.
Est-ce avec ce même ton que tu as écrit ces mots?
Ai-je mal lu ou vraiment voulais-tu houspiller quelque peu ce malheureux pour le faire sortir de cette "voie sans issue"?
Un moment donné ( à cause de ce ton que je percevais ), j 'ai même crû que tu t'adressais à quelqu'un nominativement ?

Voilà, Eve , ce qui me passe par la tête lorsque je lis tes poèmes ; et ce temps qu'il me faut pour apprécier un poème comme le tien, me rend toujours surpris devant la quantité de poèmes que d'autres sont capables de commenter.

Bien sûr que je n'ai pas été exhaustif, bien sûr que j'ai pu me tromper; mais ce dont je suis sûr c'est que je viens de passer un moment agréable en te lisant ( ne serai-ce pas là le second compliment? ).

A bientôt pour un embarquement dans un autre de tes poèmes (si ce genre de commentaires t'exaspère ou te semble inutile, il suffit que tu me le signifies et cela ne reproduira plus).

Je te souhaite une bonne nuit, pour ce qu'il en reste.