LORSQUE L’ENFANT PARAIT
Petite fleur tu as poussé,
Et bien au chaud tu es restée,
Tôt ce matin, tu nous es née,
En pointant le bout de ton nez.
Tes petites mains si graciles,
Forment toutes deux des pistils,
Et font de légers soubresauts,
Quand le verbe devient trop haut.
Toi, si petite et si fragile,
Petite fleur, fruit d’une idylle,
Née de l’amour et ses caresses,
Tu ne peux être que tendresse.
Autour de toi tu réunis,
Parents, famille et puis amis,
Nous sommes là , tel un bouquet,
Dont le centre toi tu serais.
Avec nous tu viendras danser,
Danser et aussi tournoyer,
Ensemble dans ce vaste monde,
Avec toi nous ferons la ronde.
Tu nous ravis, tu nous séduis,
Par tout l’amour qui irradie,
De toi petite fleur divine,
Qui a pour prénom : Capucine.
Mamitine Chrysalide
1/9/2009
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chrysalide38
Plume de bonheur, plume de malheur, tu signes mes émotions.