Il faut me libérer
Je ne peux plus respirer
Ma poitrine s'oppresse
Tout ce poids qui m'agresse
Je ne peux plus parler
Je ne peux plus crier
Cette terre dans ma bouche
Cette vie qui se couche
Cette peur qui s'installe
Plus rien ne m'est vitale
Je ne peux plus respirer
Mon coeur qui s'affole
Ma vie devient folle
Je ne peux plus supporter
Il va falloir me tuer
Tout est trop difficile
Plus rien ne m'est facile
Tout ça n'est plus humain
Je ne veux plus ce chemin
Je vais succomber là
Je ne contrôle plus rien
Ce sang qui s'en va
Cette absence qui devient
Cette peur qui me gagne
Cette panique qui m'éloigne
Je vais en succombant
Dans ce souffle réduit
Et enterré vivant
Dans
Ma
v
i
e
.

Salut Claude
Un poème où il est question d'une peine à vivre,une douleur personnelle qui rejoint l'universelle souffrance des consciences vives!
merci pur ce très beau partage
Amitiés
farid

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"Je n'existe que dans la mesure où j'existe pour autrui"
Manet




Mon blog : http://amedyazamazigh.blog2b.net

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Troublée par ces mots........ un cri qui ne s'arrête plus......des mots écrits comme dans un dernier souffle! Troublant..... vraiment troublant... mais écrit de main de maître, car vous nous emporter dans ce cri jusqu'au dernier souffle... Magnifique!!!!


Amitiés..... d'une femme qui a la rage de vivre.....

Bonjour claude, non je ne crois pas que tu sois enterré vivant, ta plume a encore des chose à nous dire....J'ai bien aimé te lire. Merci
Mon amitié.

Capricorne

un cri pour une douleur qui partira bien vite

Bonjour,
vous êtes tous très gentils et compréhensifs.
Merci vraiment.

Mon Dieu !
La vérité est là, effrayante, oppressante, étalée sous nos yeux…
Comment faire pour t’aider à vivre, pour soulager ta souffrance…
Je m’en veux encore de ne pas être assez forte pour
trouver les mots qui pourraient t’apaiser un peu…
J’ai trop mal de te voir si désespéré...
Si seulement je pouvais t’envoyer des ondes positives rien qu’en pensant à toi…
Tu es dans mes pensées.
Je t’embrasse.

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Calou

Chère Calou.
Merci beaucoup pour tes pensées.
Elles sont très positives comme tu le verras dans "Mon Idéal".
Mais n'est-il pas contagieux d'embrasser un "malade"?

J'avais déjà lu ton poème, je ne savais pas trop comment te donner mon ressenti,
je comprends mieux ton dernier post sur mon poème,
mais tu sais j'ai vécu cela et le temps efface un peu la douleur.
je t'envoie plein de pensées positives.

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chrysalide38


Plume de bonheur, plume de malheur, tu signes mes émotions.

Avec beaucoup de retard ,merci à toutes , à tous.
Et plus particulièrement à Chrysalide, mon infirmière d'un soir.