Devant les portes de zillon
Apparaît l enfant sacré
Reflétant le soleil blond
Le long des milles marche
Il y avait des statues
De marbres représentant
Les hommes du panthéon
Immobile immaculé de blanc
Le garçon tenait dans ces mains le parchemin de son destin
Par delà la porte géante
Jaillissait une grande lumière aveuglante
De hauts carillons à sonorités assourdissantes
Retentirent douze coup d une longue attente
La lumière se fit plus forte
Que s entrouvre enfin la porte
La porte qui de 30 tailles d hommes
Surplombais l enfant ne l effrayais pas pourtant
La porte s’ouvra doucement
Ont entendu comme les corps d une armée
Qui au loin résonnait
Il semblait entonner un air solennel
L escalier disparut
L enfant contemplait la porte s ouvrante
Le spectacle était si exaltant
Qu il ne s en aperçu
Voici que la porte fut grande ouverte
Et après un silence d’attente
Quelque chose vint au loin
Il apprêta son parchemin
Cette âme, cette douceur cette paix
Ce corps de lumière lui transmit
Comme une pensée, une merveilleuse pensée
L enfant blond fit un pas en arrière
Puis se ressaisit et lui tint le parchemin
Le papier de son destin écrit dessus
Avec ces maux ces joies ces peines
Qu il avait dans son cœur
Ne lui étais plus utile
Le parchemin se dispersa en lumière
Et un cristal d un bleu pur
Vint se coller sur le torse
Du garçon ou enfin toutes ces peines et peur
Peuvent trouver repos au fond de son âme
L'âme suprême l invita à franchir la porte
D un pas hésitent il marcha vers la cité
Émus et heureux d être accepter chez lui
Ça nouvelle demeure
Une statue lui sera érigée
Comme les hommes du panthéon
Pour les prochains qui viendrons comme lui
Apporter leurs peines leurs soucis et trouver repos
Dans la cité de lumière
La sainte Salem pays de dieux
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bonjour moi c est kevin j ai commencé sur ce site il y a deja plusieurs années maintenant j ai beaucoup de beau poèmes très perturbant un peu a la rimbaud pour ca jeunesse et ces périples dans la vie
voici le lien de mes recueil il y a en un avec ...