Il suffit pas de le dire.......
Il ne suffit pas d'écrire des mots libres, pour que le poète le soit...
Derrière les barreaux de notre imaginaire résistent nos élans et nos amours
Nous restons dans l'allée à tresser des souvenirs de nos vies.
Souvenirs qui s’imprime sur fond de ciel
J’entends tout ces mots
Ils sont lĂ
Ils s’installent dans ma pénombre
Echange
Don
Partage
Fusion
Un bémol pour laisser au temps,
Le loisir de se reconstruire, soignant cette blessure.
Elle saigne doucement sans couleur encore
Accrochant une couleur d’espérance à la lame imprévue d’un silence
Personne ne ri vraiment…… Alors j’imagine….
Un lieu, un vrai, dans lequel les mots se retrouveraient
Un lieu Ă eux dans lequel enfin leurs textes seraient dits
Un lieu dans lequel ils prendraient vie, et disparaîtraient aussitôt
Un lieu dans lequel ces mots enfin résonneraient
Vers des cimes les plus hautes
Imagine...
Le Théâtre de nuit est finie,
Chacun se démaquillent,
Rangent son costume,
Enlevant cette deuxième peau
Que l’on pensait un instant réelle.
Juste deux rĂ´les,
Une pièce,
Sans publics choisis.
Pourtant, il reste
Un bout de ce dernier rĂ´le,
Un fragment de ce jeu magique,
Auxquels publics et acteurs
Ont un instant cru.
Et dans mes pensées se cache une étoile
Rose des temps passer
Soleil des mots cachés
Qui effleure la beauté de mes mots qui se dévoilent
Seul amour d’un foyer
Qui n’a connu qu’un été de cristal
Bâillon d’un être aimer à l’aube du métal
J’ai pleuré dans le vent de cette toile
Sur l’Océan de ces mots aux couleurs dérisoires
Cette peur de manquer dans ma mémoire
Au seuil des mots cédés,
Je rejoins mon Théâtre…………..
----------------