Immobile depuis longtemps
Mon coeur se balancait
Avec le mouvement de l'océan
Mon corps oscillait
Au loin un bateau marchand
Semées aux quatre vents
Des vagues de sentiments
S'échouant sur le sable blanc.
Mais les mouettes rieuses
Emportèrent mes pensées joyeuses
La chaloupe de mes revers
Se deversa dans la mer
Descendu d'un rayon de lune
Un chevalier sans armure
Déposa à mes pieds nus
Ses sentiments jadis perdus.
Un amour infini
Pour humble abri
Où naitront les envies
Des rêves interdits.
Les amarres nous larguerons
Flotteront dans notre sillage
Nos baisers qui s'égareront
De nos hommages et partages .Patricia
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L'homme raisonnable s'adapte au monde, celui qui est déraisonnable persiste à vouloir adapter le monde à lui-même.
Aussi tout progrés dépend de l'homme déraisonnanble;
Georges Bernard Shaw.