Un soir, au téléphone

J'espère en tout cas que ton humour ne se désagrègera jamais... J'avoue que je n'avais pas compris et que j'ai dû relire, j'avais cru au départ qu'il s'agissait d'un pamphlet contre les démarcheurs de tout poil (ou sans poil, on ne sait pas au téléphone) qui essaient de vendre des meubles... jusqu'à ce que je "tombe" sur la description du meuble...

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Désolée, mon état de santé ne me permet plus de faire les mises en pages de recueils.

Bonjour cher Grognard..

Méfie toi !
l'humour pèse très lourd..
Et les" porteurs" seront un "peu pliés "
non de bois !!

amitiés

michel

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MON 2eme RECUEIL...JE TE PORTE L'AUBE..EST DISPONIBLE..
http://www.oasisdesartistes.com/modules/newbbex/viewtopic.php?topic_id=97282&forum=47

Quelle vision réaliste de ces meubles qui nous entourent, comme de fidèles compagnons... mais surtout, du dernier! Ta bonne humeur m'a fait rire... Ah! Si nous pouvions tous avoir cette sagesse et considérer notre vie avec cette dérision qui fait tout le charme de ton poème!

Merci, grognard!



Capucine

choisit du sapin c'est pas cher et ça brûle bien, ce sera mon choix

Nous ne possédons en fait rien, puisque nous n'emportons rien.

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à te lire ta "connerie" ne pèse pas bien lourd par rapport à certains qui se croient malins

j'ai beaucoup aime ton poème

merci

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J'adore ta poésie et celui ci ne déroge pas à la regle.Merci pour le partage.

Pour faire jouir la lune, j'attendrai qu'elle devienne croissant.Belle silhouette,non???

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A l'éxil des mots; au coeur des sens.

bravo cher Ami grognard,
attention à ne pas faire mourir de rire le corbillard
cela serait fatal aux nombreux invités
et ce serait partir sans la gaîté (sic)...


ci joint quelques fleurs humour oblige

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Cory

Bonjour Grognard

J'ai adoré ce poème ! Une vraie dérision pour parler de ce dernier voyage et si l'urne doit être lourde , c'est de vous garder encore longtemps parmis nous ! Merci de ce sel qui pimente ce poème !!

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L'homme raisonnable s'adapte au monde, celui qui est déraisonnable persiste à vouloir adapter le monde à lui-même.

Aussi tout progrés dépend de l'homme déraisonnanble;

Georges Bernard Shaw.