Ce petit globe là, d’eau de joie, constellé
qu’il lui offre du bout des doigts pointés sur monde
minuscule où tout est possible, comme aimer,
a l’herbe folle éclose en un chemin de ronde.

Ce petit globe a des magies de prince blond
pour quelques épilobes, ayant planté racines
dans sa terre en jachère, et ses tout pleins de ronds
dans l’eau, l’inamovible ennui qu’il avoisine.

Ce petit globe alors est céleste au jardin,
sauf pour les liserons-baobabs en planète,
où la dite mauvaise est accueillie, en mains,
précieuse, unique, belle, apprivoisée pour fête…


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et sur Copains d'avant : Monique Pourre

Artiste d'Oasis, merci, j'ai adoré!

"Ce petit globe là, d’eau de joie, constellé
qu’il lui offre du bout des doigts pointés sur monde
minuscule où tout est possible, comme aimer,
a l’herbe folle éclose en un chemin de ronde."

Sonore à souhait, plaisir certain.

Ce globe inamovible vient de retourner sur la première page. Il s'était dévissé. Joli poème. IRIS