Dîtes-moi,
La voyez-vous cette harpe qui tire sur mes cordes
Qui chante et enchante,
Entre deux rires que l’écho a apportée
dîtes-moi
Croyez-vous à elle?
Les esquives de jadis
Vous ont cloués les yeux
Jusqu’à en retirer une larme
chuchotez-moi
les louanges de la souffrance
retirée de sol miséreux
allez, soufflez-moi le
Je veux savoir
Combien font un et l’amour
combien de temps faut-il attendre
pour traverser ces barreaux corsés
Faut-il retarder les jours heureux
Pour savourer l’accablement
dîtes-moi
Vous arrive-t-il d’espionner les nuages
de perpétrer le vide sans y chuter
Dîtes-moi
Vous arrive-t-il de pleurer en silence
dîtes-moi le à voix basse
Les touchés sont les victimes
qui espèrent se savoir banal
Dîtes-moi
Que je ne suis pas seul.

Salut
Je te souhaite la bienvenue
Non,tu n'es pas seul!
j'ai beaucoup apprécié la musicalité de tes mots,l'aisance de ta plume et la profondeur de des métaphores;je t'en remercie et te souhaite une bonne continuation
Amitiés
farid

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"Je n'existe que dans la mesure où j'existe pour autrui"
Manet




Mon blog : http://amedyazamazigh.blog2b.net

bienvenue a toi
j'ai bcp aimé le ton de ce poeme
des questions fortes et une tres belle chute!

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VULNERANT OMNES,ULTIMA NECAT