Tu me vois, tu m'entends, tu m'écoutes,
Tu me protèges, tu me conseilles, tu me parles
Et pourtant,
Je sais que tu me crois, tu me comprends
Et pourtant,
Tu ne sais pas, tu ne sais plus
Que tu es mon atmosphère,
Que ton amitié dans mon coeur
Résonne comme la pluie sur mon calvaire
Elle ne fait qu'adoucir la douleur
Et chaque arc-en-ciel exhale
Les odeurs, chaque douleur sur lesquelles je m'empale.
Chaque jour, pour toi, j'enrichi mon vocabulaire
Dans l'espoir qu'un jour cette démarche épistolaire
Atteindra la cible qui pour moi est ton coeur
Et te rendra éphémère cette douleur séculaire.
Je t'aime, je t'aime, je t'aime,
je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime...
Si un jour il me lit il se reconnaitra et me comprendra. Je le remercie de son amtié.
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Une adulte qui veut rester une gamine pour garder ses rêves.
Ne pas grandir trop vite et en gardant son regard d'enfant.
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