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Au pré où poussent les marguerites
J'ai mis un mur pour m'abriter,
Pour protéger l'odeur d'un rite
Que l'oeil humain ne peut quitter.

J'ai pris une route qui semble vide
Suivant l'élan d'une brise timide,
Avec des herbes au pied des tiges
Dont les pétales font le prestige.

J'ai mis la figue entre les épines
Comme l'or au fond d'une bonne mine,
Elle garde le miel au proche été
Et l'ombre fraîche aux invités.

J'ai épargné de l'eau de mer
Pour arroser le grand désert,
Pour que le sable verdira vite
Au pré où poussent les marguerites.

Kader...

J'adore ce poème, les images sont très jolies, les vers coulent en douceur pour le plaisir du lecteur..Bravo..Okana tendresse...

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La douleur est comme un arbre tordu par les morsures des grands froids d'hiver...


Citation de Nicole Chaput

Un tres joli poeme agrémenté de doux et enchanteurs parfums !

Bravo pour ce beau poème tout en douceur...un grand plaisir en te lisant..merci pour ce partage...

magnifique dédicace mon cher fils, je suis très touchée !

bravo et merci

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http://www.mespoemes.net/eolienne/

https://www.amazon.fr/Souffle-poétique-Adeline-alias-Éolienne/dp/2414163232

https://www.edilivre.com/sur-les-ailes-d-eole-adeline-mela-eolienne.html

une très belle dédicace pour notre maman de coeur

UN très belle dédicace pour la belle au coeur d'or

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les années de disette dictent les poètes

J'ai épargné de l'eau de mer
Pour arroser le grand désert,
Pour que le sable verdira vite
Au pré où poussent les marguerites.



Un beau poème pour notre chère Adeline, Abdelkader !

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Doïna


http://horslesmurs.ning.com/profile/DOiNAMARIATUDOR

Eternellement amoureuse du Temps et de l'Espace qui m'hébergent grâcieusemant dans l'Univers

Au sol battu à coups d'errance
Muni de mille et une chances,
J'ai fait un mur sur le coté
Des fleurs qui poussent en liberté.

J'ai mis les pierres où j'ai terré
Un cher trésor pour prospérer,
Fournit du vert à la savane
Et la patience aux caravanes.

J'ai déposé les larmes aux joues
Du coeur qui prend un sens fou,
Tracé les lèvres de rouge sanguin
Qui ôte la soif aux pèlerins.

J'ai labouré un champ de vigne
Et bu le jus d'entre les lignes,
Marchant d'un pas en nonchalance
Battant le sol à coups d'errance.

Merci à vous de lire et d'aimer ces mots, cela me ravit énormément...

Kader...

...Et le désert fleurit!...Très exquis et tellement sublime ce tableau poétiquement peint avec des mots/pinceaux!Bravo!

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Ma vie n'est plus une barque dans une mer enragée
Et je ne suis plus le naufragé!
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Mostafa, point fat, seul, las, si doux, rêvant de sa mie!!!