Moi j’ai quémandé un peu de politesse à mon égard
Ils m’ont donne la tristesse de celui installé à l’écart
Moi J’ai quémandé la tendresse à mes enfants légitimes
Ils se sont évaporés avec celle au sourire maritime
Moi j’ai quémandé la justice au nom de la justice
Ils m’ont dit La corruption plie juge et police
Moi j’ai quémandé mon honneur au BON DIEU
Les versets m’ont dit patience le jour de l’adieu
Moi j’ai quémandé la poésie qui me venge de ses blasés
Elle m’a dit d’accord après ta mort ton recueil mène les basés
Alors j’ai dit j’écrirai un roman avec la plume de l’érudit
Mais pour cela il faut que j’habite la grotte de l’ermite dit
Dites moi mes frères ayant vécu le calvaire que je dois faire
Quitter ce monde ou s’exiler loin de mes paires
Comment arrĂŞter cette danse est avoir ma vengeance
Et la toile d’araignée règne sur l’entrée de l’agence
Moi J’ai quémandé mon cher cœur de vivre l’univers
De se dénuder de la solitude vivre l’amour en vers
Moi J’ai quémandé ma femme pour le bon de nos âmes
Elle m’à dit tu sais la brame m’a donner un blâme
Moi J’ai quémandé la chance de secourir ma présence
Pour que je redeviens le prince de ma tendance
Elle m’à dit patience j’ai pris des éternelles vacances
Mais le vorace s’occupera de ta maigre carapace
J’ai quémandé la mort pour que je rentre dans son dignitaire
Au paradis ou en enfer personne ne peut dire le contraire
Mais l’horrible aime traire l’âme et puis soustraire
Alors J’affronte l’adversaire sans jamais m’abstraire
Moi j’ai quémandé l’amour à la fleur sauvage
Elle m'a dit va cueillir celle d'ailleurs,ou d'aure rivages
Ah la vie et pleine de ses abusés
Ma plume à dit arrête j’ai la nausée
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les années de disette dictent les poètes