LA FAMINE 2
Le soleil se lève sur cette terre aride,
Et le sable propose une nouvelle ride
A ce peuple lassé de ce désert.
Son avenir n’est qu’un espoir peu disert.
Le monde continu cependant
A bercer son indifférence
Dans un arrogant silence,
Souhaitant oublier ce drame « agaçant » !
Et l’enfant meurt comme une petite chose,
Même sa mère ne peut rien :
Elle ne pas le force de crier une rose
Pour humaniser le cœur de l’Homme vaurien.
Qui donc peut encore sourire ?
Qui donc peut encore laisser souffrir ?
Seigneur ! Je hurlerais fort
Pour t’astreindre à l’effort
De sortir l’amour de cette mort !
Ultime, le lundi 5 septembre 2011.
pardonnez-moi pour les problèmes de posts que j'ai rencontré. aussi, je vous envoie ce poème sans image, hélas !
malgrés-tout, je vous souhaite une bonne lecture.
ultime.
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"sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloges flatteurs".