Lorsque de nos voix en finissent par moins fortes
et comme si la nuit taisait à ses grands jours
quant au silence,teneur de phrases mortes
oasissons-nous pour qu'il parle toujours
Lorsque de nos amours s'en épouse à plus grandes
aux embruns des toujours,naissance des bonheurs
à s'avouer vaincu sous les caresses tendres
oasissons nous pour écrire le coeur
Lorsque de nos souffrances servent à faner le vase
aux senteurs de l'antan,aux lendemains finis
pour un échec de plus sur l'échiquier de base
oasissons-nous pour guérir dans l'écrit
Lorsque de nos états aux multiples facettes
une humeur sinon d'autres se notant à leurs nues
chapitres de nos vies à l'encre des poètes
oasissons-nous pour que le livre continue
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Je ne laisserai sur le papier que l'ombre de mon écriture,juste le soupçon d'une pensée de mon imagination la plus pure.