je l'ai vu souvent trop loin en faux
Et Je l'ai vu en toc en trop
je l'ai vu tu sais je l'ai approché
Mais jamais jamais je l'avais touché
J'ai ouvert ma porte et j'ai balayé
J"ai joué les hommes fort
Pour les coeurs brisés
J'ai tendu les bras attendu pleuré
Mais jamais jamais il n'était rentré
le bonheur, le bonheur
comme un petit être qui colore le coeur
le bonheur, le bonheur
Pourvu qu'il se plaise dans ma demeure
Oui il prend ses aises et il s'agrandit
Il a toujours faim il se lève la nuit
Il a faim de toi il a faim de vie
Mais quand il est là j'ai peur qu'il s'enfuit
Je le laisse sortir mais pas s'en aller
Je le laisse courir qu'il fasse des bébés
des petits bonheurs des grandes idées
qui chatouille la tête des rires abimés
le bonheur, le bonheur
comme un petit être qui colore le coeur
le bonheur, le bonheur
Pourvu qu'il se plaise dans ma demeure
Quand tu ris je crois en lui
Et les chagrins meurent dans la nuit
le bonheur, le bonheur
comme un petit être qui colore le coeur
le bonheur, le bonheur
Pourvu qu'il se plaise dans ma demeure
Le bonheur . . . le bonheur
Je l'ai vu tu sais je l'ai approché
Mais jamais jamais je l'avais touché
bonheur
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