Une pincée d'humour
Car c'était de la chance.
Ils n'ont fait que l'amour.
J'entre dans la danse.

La vie prit en pitié,
Le petit, l'arome
De la joie et de l'amitié.
Donc la vie fut son baume.

Il connut alors la passion,
La tendresse d'opaline,
Puis cette folle ascension
Grace à sa mandoline.

Mais le reflet d'un proche vieillard,
Courant après le jeune âge,
Ces grands monologues babillards,
Lui montra l'ultime ravage.

Berhe

Un poème une peu tristounet mais que j'aime bien

Bravo et bisous

Merci, la saison est à la nostalgie.
Elle ouvre des coeurs aigris.
Ils battent dans un coeur de poésie,
Mais excuse-moi, j'en rougis.

Berhe :-? :-? :-?

c'est un thème délicat que tu as choisi et moi aussi tu sais je suis très sensible aux reflets des vieux mais il faut se dire qu'il y a déjà eus des milion de morts avant nous. tous nos ancêtres par exemples eh bien ils sont tous morts mais nous on là et même bien là alors on va pas pleurer sur eux: ils ont eu leur tour.

A l'automne des idées,
L'on mesure l'étendue,
Du ravage des années,
Sur notre corps nu.

Très joli Berhe, comme d'habitude...

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Un peu triste mais très joli
J'ai bien aimé aussi
Bisous
Ghis :-(

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