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J'ai adoré ton poème!!La faucheuse inspire beaucoup tant qu'elle reste fiction Carla,seule délivrance d ceux qui souffrent et qui sont condamnés à la demander(alors qu'ils préfèreraient vivre surement!)!!
J'ai aimé le coté sombre de cet écrit car je lis en toi la vie Carla!!

Ecrit satyrique sincère et vrai!....
Oui, mais ne parle t'on pas de la mort parfois uniquement pour la narguer?...Se croire plus fort, la sublimer ou la transcender pour rester maître de cette vie et oublier qu'elle sera un jour la plus forte?...
Que de questions sans réponse...que d'incertitudes devant ces fins de vie...ces peurs de l'après?....
Merci pour cette réflexion!

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Bravo chère Carlita! On ne peut parler de la mort impunément, même s'il est vrai que ça devient une "mode"...

Katel

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tatsy

"D'une joie même, le souvenir a son amertume, et le rappel d'un plaisir n'est jamais sans douleur" Oscar Wilde

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Ma chère Carlita, j'aime beaucoup ton texte et je comprends très bien la souffrance chez certaines personnes qui en ont marre de lutter!
Mes amitiés et au plaisir de te lire!
Alain

Tu as raison:dans leur enfer quotidien,des gens implorent la mort comme délivrance et repos éternel et ne la trouvent pas! C'est une réalité amère mais vraie que nous devons reconnaître et ne pas fuir. Je crois que c'est le message essentiel de ton beau poème. Non,la mort ne doit pas nous faire peur,faisons comme le poète Sud-Africain Benjamin Moloise qui a dit: Je n'ai pas peur de la mort car ,quand elle est là,moi je n'y suis plus!

Ton texte à du en faire réflechir plus d'un Carla, on souhaite souvent la mort, par boutade, par honte, par tristesse, par dépit, par ennuis, mais on la veut rarement et c'est très bien! La preuve en est que le fait même que nous sommes ici démontre que nous ne somme pas mort. En parler, c'est la conjurer, ceux qui ont vraiment voulu la mort ne sont plus là pour en parler, cela rend t-il ceux qui en parle coupable? il est clair et reconnu que vivre demande plus de courage que partir, il est clair aussi qu'il y a sur terre tellement de gents qui on ou souffre encore plus qu'on ne soufrira jamais, je suis un mauvais exemple pour en parler mais je sais que ce que j'ai vécu est bien peu de chose comparé à ce qui s'entend et se vois, donc oui, la mort n'est pas un mot qui devrait être trop facilement utilisé!

bien vu!

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Pas entièrement d'accord avec toi (oui ce n'est pas la première fois, ce qui ne retire rien à la qualité de ton poème). Quand on souffre vraiment dans son corps au point de ne plus rien pouvoir en faire, il arrive de souhaiter la mort comme une délivrance. Dans des poèmes, c'est souvent du lyrisme (style "tu as blessé mon coeur à mort" alors qu'on sait très bien qu'on ne va pas en mourir). Et puis pour certains c'est aussi une façon d'exorciser leur envie de mourir qui peut être réelle. Il ne faut pas oublier qu'il y a réellement tous les jours des gens qui se suicident. Et leur entourage n'a rien vu venir. Alors il ne faut pas critiquer ceux qui s'épanchent, même pour ce que tu appelles "petits bobos", peut-être qu'à leur yeux il s'agit de choses essentielles et qu'en parler les aide à guérir.



pour ton poème

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Désolée, mon état de santé ne me permet plus de faire les mises en pages de recueils.

Un magnifique poème, Carla...j'ai adoré le fond et la forme.
C'est tellement profond ta réflexion... et la forme est superbe.
Dans ce "je veux mourir" je ressens une soif de vivre chaque instant pleinement...
Alors un grand Merci pour cet espoir...
Cela pourrait paraître contradictoire...mais, comme le poème d'Inri, tes mots m'ont apaisé...comme si dans le noir c'est là qu'il avait l'espoir...
Merci beaucoup...j'ai pris grand plaisir à te lire.
Sophie.

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"Cependant c'est le seul qui ne me paraisse pas ridicule. C'est, peut-être, parce qu'il s'occupe d'autre chose que de soi-même."A.de Saint-Exupéry.

"Le chemin vers le bonheur : gardez votre coeur libre de haine, votre esprit libre de tout souci. ...

Salut Carlita
Tu parles de la mort comme je parle d'un fruit!
Merci
Amitiés
farid

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"Je n'existe que dans la mesure où j'existe pour autrui"
Manet




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C'est vrai ce que tu dis. Les plus grandes souffrances se taisent.
Tu le dis merveilleusement bien.

Cependant, il y a des êtres fragiles, hyper sensibles, mal armés...et qui souffrent réellement. Même si leur souffrance peut paraître...(elle l'est d'ailleurs) dérisoire au regard de la souffrance de certains autres.

Ton cri est salutaire !

Marie (Albatros)

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De la musique avant toute chose (Verlaine)
Là tout n'est qu'ordre et beauté
Luxe calme et volupté (Beaudelaire)