Je laisse mes sentiments voguer sur un bateau
Je les laisse partir au gré des courants
A la recherche du plus beau des châteaux
Ou d’un autre et plus doux continent.
C’est sur l’océan de mes désirs
Que se gonflent les voiles de mon bateau.
C’est dans ce grand et somptueux navire,
Que je voudrais t’offrir tous ces cadeaux.
Lorsque la vague de mes profonds, tendres désirs
M’entraîne dans la fureur de la tempête,
Frappe les flancs, la coque de mon navire,
Je résiste pour ne pas perdre la tête.
Je continue à croire et je m’accroche.
J’attends l’éclaircie, que la tempête s’achève.
Je te sais là , je te sens proche
Bientôt près de toi je vivrais mon rêve.
Quand tous mes tourments seront à jamais partis
Que le ciel aura trouvé son bleu azur
Mes sentiments pour toi, tomberont comme une pluie,
De tendresse, d’amour pour notre vie future.
Je ne laisserais plus mon navire s’échouer,
Monter en moi les sanglots de mon cœur,
Ni mes rêves et mes illusions se briser.
Je m’accrocherais à la vie avec ferveur.
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The boat desires
I let my feelings sail on a boat
I just let go at the whim of currents
In search of the most beautiful castles
Or from another continent and milder.
It is on the ocean with my wishes
That will swell the sails of my boat.
It is in this large and luxurious ship
What I would like to offer you all these gifts.
When the wave of my deep, tender desires
Take me in the fury of the storm,
Strike flanks, the hull of my ship,
I resisted so as not to lose his head.
I still believe and I hooked me.
I expect thinning, as the storm ends.
I know you here, I feel close
Coming soon near you I could live my dream
When all my agony will be forever leave
Let the sky has found its azure
My feelings for you, as a fall rain,
From tenderness, love for our future life.
I can leave my most ship fail,
Mounting me with tears in my heart,
Neither my dreams and my illusions break.
I will cling me to life, fervently.
Gys 21/01/2008
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Le poète fait abstraction de la réalité, alors, ce rêveur compte les étoiles et va même jusqu'à les imaginer. [Giacomo Bardi]
Gyslaine