Venus de contrées lointaines et nordiques,
Ils sont restés nous envahir ,en Bretanie,
Semant la terreur et un vent de panique,
Pillant et saccageant les villages meurtris.


Ils prenaient nos femmes,nos enfants,le bétail,
Ces colonnisateurs aux larges poitrails,
Vêtus d'étranges coutils,et de peaux rustres,
Puis s'enretournaient dans leurs cités lacustres.

Que reste-il de ces hordes dans les landes?
Quelques chants,ou vieilles litanies ocultes,
Cette langue dure,est ce le gaélique?

Cet idiome celtique est toujours présent,
Et il résiste à la langue des francs
Malgré les siecles,il n'est point une relique.

merci Maxence pour ce magnifique poème et
bienvenue sur Oasis des artistes!

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Lire, c’est rencontrer du monde, au plus profond de soi.