Une vie pour la mort...
Il peut arriver, dans cette immensité, que nos rêves s’estompent pour faire place à la réalité. Alors, on comprend que par nos actes de la vie courante, il n’est pas pour seul destiné, que la réalisation des désirs imaginés. Le réel, détient dans sa nouveauté journalière, quelques faits qu’ils ne soient de notre simple volonté. Lui-même, sait se démarqué, d’évènement incontrôlable. Ainsi, on connaît la surprise et l’étonnement s’alliant à la nature humaine.
Une vie ne représente jamais qu’une seule volonté d’évoluer, car quand l’on sait que notre mort arrivera un jour, on épuise la concrétisation de nos rêves chaque seconde.
Est-ce vraiment nécessaire ?
Bien sûr, parce que ce n’est pas la loi du destin qui règne nos pensées. Mais plutôt, nos envies nombreuses qui l’emporte sur une quelconque vie toute tracée.
On désire tout effectuer pendant le vécu afin de ne pas regretter nos rêves dans la mort.
On s’imagine toujours que la mort n’est qu’un amalgame de fatalisme auquel nous ne pouvons lutter. Ce n’est pas la vérité, elle est seulement la finalité de nos vies.
La fin n’est pas un déterminisme aussi terrible que nous le ressentions. Elle symbolise seulement un passage inévitable en passant d’un monde cruel aux facultés immenses, à un autre monde imaginaire de nos pensées.
Alors ne faut il pas profiter de cet arbre des possibilités ?
Quand nous nous retroussons dans la mélancolie et la dépression pendant notre existence, il faut avouer que nous faisons preuve d’égoïsme face à nos désirs. Car nous voulons du bonheur tout en étant capable d’éprouver du malheur. Mais cette tristesse n’est elle pas démesurée face au possible ?
Pourquoi s’inquiéter de nos problèmes existentiels alors que la vie est si attrayante et d’une beauté indescriptible ?
Selon notre propre nature, la réponse est simple : si l’homme est capable d’être heureux quand il détient la réalité des ces envies, sa capacité est d’autant plus forte à devenir malheureux quand il ne possède que ces rêves comme euphorie.
Et, voila où se trouve tout le fatalisme de la fin d’une vie. Quand on n’a tout perdu, autant perdre nos vies, tel le ressenti de tout êtres.
Comment se sortir de cette ambiguïté ?
C’est difficile de répondre à cette interrogation.
Parfois, on se demande jusqu’à où l’homme peut s’emporter pour accomplir ces rêves.
Et bien, cela dépend de sa détermination et de son ambition. Mais, en considérant que tel le proverbe : « Quand on veut, on peut », il serait capable de mettre fin à sa propre vie pour accomplir son dessein.
Donc deux problèmes humains : « Celui qui ne veut pas mourir car il veut continuer à vivre, et celui qui désire mourir pour ne pas se contredire. »
Voilà le véritable mystère de la nature humaine.
L’éducation n’est pas la fautive, c’est véritablement le propre de l’être qui en est la cause.
La mort n’est donc pas, dans la mentalité humaine, la même pour tous. En effet, pour certains, c’est les ténèbres de l’esprit et le néant des mortels, pour d’autres c’est le commencement d’une nouvelle vie.
Alors, en conclusion, choisir pour la vie ou pour la mort est la fatalité. C’est l’homme qui désire ou non ces deux extrémités. S’il veut vivre toujours, il vivra même dans la mort et savoura son existence dans l’éternité. Par contre, celui qui veut mourir, trépassera dans la mort comme dans vie, et disparaîtra tel est son désir.
Tout est une question de choix, d’envies, de rêves et de désirs. Car, il est vrai que s’il se donne les plus grands moyens pour y arriver, alors on y parviendra. Tout dépendra de la qualité de la croyance à laquelle on y donnera.
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"Puisqu’il n’y a plus de dieux, plus de bien ni de mal, puisqu’il n’y a plus d’idéologies, plus de rêves auxquels croire, puisqu’il n’y a plus que les ruines d’une richesse lointaine, puisque cette étoile est laide et puisque je suis seul, je prie"
