T'a- t- on conté l'histoire du peuple enseveli?
Qui avare d'éphémère depuis peu a péri?
Qui de son propre feu s'est vu réduit en cendre
D’une ère disparue voici donc la légende:

Au commencement était le cœur
Où grandissaient nos sentiments
Aux fleurs d'amour et de pleur
Mais On préféra le diamant.

Et ces curieux alchimistes
Qui changeaient l'homme en monnaie
En abusant de leurs caprices
Ont fait le monde que tu connais.

Il fut un temps déjà lointain
Quand l'âme n'était point figée
Où l'on tendait parfois la main
Sans en attendre d'intérêt.

Où le simple regard d'une femme
Pouvait vous mener bien loin
La tolérance était une arme
Quand l'homme était encore humain.

On parlait même de liberté
Evidemment tu n'y crois pas
Une créature ailée
Est impossible pour nos lois.

Leurs noms étaient tous différents
Selon leur âge et leur nation
Enfant chinois, vieillard afghan
Une multitude de millions.

Ils n'étaient pas rangés en rangs
Rien ne les y obligeait
Et les révoltes et les slogans
Sont des mots sans idées
Quand le temps c'est de l'argent
Comme bien sûr tu le sais.

Ecoute donc un pauvre fou
Et ces mythes insensés
Ecoute moi car après tout
Je ne peux que raconter...

Alors que l'espoir endosse votre encrier
Que votre plume épouse votre sensibilité
Que vos pensées soient libérées
Que la joie vous transforme
Que le plaisir d'écrire vous unit a vos rêves
Que la paix du poète soit a votre coeur
Comme le coeur est à la paix d’Oasis !!!

Bienvenue chez toi,
Prend place et ouvre ton encrier
Que ta plume danse les mots de ton coeur !!!

Merci de nous donner ta vision de l'atlantidé. Qu'aurait pensé Platon de ce joli texte?
Amicalement
Henry

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