Dis-lui donc enfin que tu l'aimes
Comme on offre en bouquet des mots
Parfums donnés au coeur suprêmes
Qui vous consolent de tous les maux

Dis-lui enfin dans un murmure
Que la vie est belle malgré tout
Et que la route semble moins dure
Quand un bras sûr vous tient debout

Pour le regard lancé vers toi
La lumière en l'iris posée
Dis-lui tendrement ce pourquoi
Dont la réponse tant désirée

Se tient au seuil de tes lèvres
Dans un souffle porteur de joie
Tu apaiseras les folles fièvres
De l'être inquiet qui n'aime que toi.

On ne tait pas l'amour, on entend sa voix entre les lèvres d'un visage absent, on lis cette joie qui fait mal entre les lignes d'un discours qui murmure de la vie... C'est beau ton poème, merci à toi...

Kader...

Que cela est bien dit. Magnifique !

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Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse ! (Alfred de Musset)

Un beau texte et de fort bon conseil.

Un peu de tendresse ne nous fera pas de mal dans tout ce boucan ! Bonne journée à vos plumes.