Derrière mon asile
Je sanglote sur mon île
Le tombeau de la douleur
A enseveli mes pleurs
J’ai l’âme meurtrie
Je perds la notion de la raison
J'ai les mains qui ne parlent plus
Et le coeur qui tremble
Quand la fureur de mes yeux
Se traduit en chant pénible
Jalouse, je rage de l’inaccessible étoile
Celle qui s’est noyée au passage
Éprise, je pleure devant le tombeau de mes douleurs
Je crie mes silences et mes frayeurs
Je me perds dans mes souffrances
Oh ! Toi mon cœur
Pourquoi es-tu si confus !