Je vais dans le sous-bois d’une forêt
Dont le calme en montre l’apprêt.
Je vais sereins, disciple de Rousseau
Mon esprit dense, vole, comme un oiseau.
Sur un tronc, je cale mon dos.
Sur une tendre mousse en guise de coussins.
Je ferme les yeux et imagine des lutins
Allant d’arbres en arbres, incognito.
Qui donc pourrait détruire ces lieux ?
Je ne souhaite pas penser à ce drame
Je ne désire seulement me sentir bien dans ce milieu
Boisé et lui offrir mon âme.
Le bruissement des feuillages
Me fait oublier l’âge.
Songer à cette vie, à ce charmant charme
Oublier enfin sa larme
Et danser de cette futaie, cette futaie de Parme.
Ultime solitude
Le vendredi 1er février 2008.
bon c'est pas terrible mais pour une première fois, je crois que ce n'est pas trop mal. qu'en pensez-vous ?
je remercie eolienne et orangelle pour leurs explications.
je vous souhaite bonne lecture et à très bientôt.
ultime
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"sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloges flatteurs".