Ceux qui peignent l’Amour, dans les cieux
Ne savent pas bien, connaître l’amoureuse ingénue ;
Amante de mon cœur, ou je vis l’amour dans ces yeux :
Las ! j'aurais encor caressé ces cheveux si ténus !
Marie je pensais à tes lèvres, où je me suis abreuvé,
Je m'égare enfin sur la plaine de ton corps, si solitaires ;
Il fallait encor parcourir ta vénusté, dans le ciel gravé
Marie tu parcours mes pensées dans ces plus seuls repaires.
Quoi que je coure après mes rêves si chimériques incessamment
Par déserts, montagnes ou l’amour, et dans ta joie si pleine,
Cela ne m'éloigne jamais de tes lèvres aucunement,
Et cela me fait souffrir que ton regard exprime mille peines.
Hélas, a-t-il une certaine nostalgie dans ce regard ?
Des cent mille pensées amoureuses, qu'elle m'adresse.
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