Face à la mer quelque part en Tunisie......
Pascaline,le visage brùlé par le soleil,
discutait avec Isabelou et Eolienne.
"Mes amies je sais d'où vient notre cafard:
Il faut réouvrir l'école,y'en a marre!
Eolienne,saute de sa chaise et hurle telle une hyene .... T'as raison,dit elle,vite les filles en France,on s'barre, Allez!Allez!
Alors quand le téléphone devient business,
du président au prof de fitness
Ils sont des milliers à aider Ramses
Dans un superbe mouvement d'allégresse.
Luciole,Fleurette,Brigitte,Ghiscou,Poètes enfin!!!!
A cette nouvelle même Lucifer riait d'un bonheur sans fin...
Jour "J".Dans la cour:magnifiques retrouvailles!
Ici,l'anonymat nous le conservons
A l'école les paparazzis n'ont pas de travail
Seuls:Daniel et Patymer(nos reporters) nous protègent sans faille.
Soudain,apparaissent les membres de la direction
Leur coeur est aussi noué qu'un cep de vigne
mais ils se tiennent droits,dignes.
A leurs pieds une superbe Louve,mascotte de la maison.
Dans ce tableau,une ombre:trois femmes au visage brûlé...
La lumière va violemment les éclairer...
De gauche à droite
Jedis:coiffure "BANANE" fixé en gel béton
Eolienne:bras levé,cheveux" couronné" façon "statue de la liberté"
Amédéaz:Cheveux très huilés dans le style "chanteur M"
Pascaline:crépage,très large,horizontal,nommé "coup de balai"
Isabelou(rédactrice):chignon "manivelle" pendant sur le cotè.
Devant tant de beauté....Silence...puis tonnerre d'applaudissements!
Bravo!dit Amédéaz,aux exams vous avez mis les gaz!
le visage couvert de compresses de gaz.
Eolienne et Isabelou confieront leur discours à une factrice
qui n'est autre que leur directrice!
Jedis se dira fier d'être nommé dans toute la région
en le déclarant travailler pour cette école de renom.
Pascaline dira qu'elle a obtenu un brevet
pour "l'épidémie poétique"qu'elle a mise sur pied
et combien de cette école elle est fière
qu'elle nomme pour chacun,sa demeure,son bout de terre...
Puis elle crie!!
Bonne rentrée!
et champagne sans traîner!
VIVE LES POETES!!!!!
votre directrice PASCALINE.
