Ces deux yeux bruns, deux flambeaux de ma vie,
Au Dessus des miens resplendissant de clarté,
M 'ont fait esclave de ton jeune cœur, et de ma jeune liberté,
Pour m’emprisonner dans un amour sans horizon
Asservie. Par tes deux yeux bruns ma raison fut ravie,
Lorsque cette beauté est venue à ce monde ! Et amour m’ait arrêté,
Elle est sur terre une étoile et elle reste cette autre beauté
Comme sa chasteté perpétuelle comme laurier reste vert, et en vie.
Marie, sous le cercle du soleil, vous aviez l’amour qui vous rejoint
Amour, par le pouvoir de votre espoir amoureux, qui ne se loge point
La lumière du soleil éclaira, nos corps enlacés où nous tourbillonnons.
Et mon papier qui s’émaille de mes vers, sinon
De ta beauté Marie, que je sens dans mon âme.
Qui d’un autre feu désireux, Marie ne s’enflamme :
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