larmes d'amertumes....
Des larmes de douleurs au parfum d’amertume,
coulent sur mes joues que l’hiver a creusées.
Quand l’été c’est enfuit,
quand l’automne a grandi,
je n’ai pas vu le temps délaisser ton rivage,
en vagues lancinantes l’hiver t’a rattrapé.
J’ai le cœur déchiré de n’avoir pas compris,
que de tous les joyaux du trésor qu’est la vie,
tu es le précieux gage d’un amour épuré,
un regard de douceur enveloppant ma vie.
J’ai l’esprit chaviré de ces instants futurs,
ou quand je chercherai ton regard comme une approbation,
de mes dires incongrus,
rien ne viendra troublé le silence trop lourd.
J’aimerai tant pouvoir remonter les aiguilles,
De ta pendule blessée par tant de maux vécus,
Revenir en ces temps oĂą pour moi rien au monde,
N’avait plus d’importance que de pouvoir t’appeler,
MAMAN.
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je t'Ă©cris trois mots
peut-ĂŞtre quatre ou cinq
enfin je t'Ă©cris.