Du bel œil de Marie est de ma flamme empruntée,
C'était toujours cher à moi, son rire de gaieté,
Dans ma pensée, je crée des espaces d’amour, épris de liberté,
Dans ces grands silences humains, où son âme est enchantée.
Son regard rend lumineux, les astres surmontés,
Ses cheveux du soleil ternissent, l'éclat de sa beauté,
Lorsque j'entends le vent, qui passe sur sa divinité.
Je vais comparant, ce silence de l'infini si tourmenté.
Avec cette voix, je me souvenais de ces mots d’amours argentés.
Tes lèvres Marie me ravit, et ta peau dorée me tient,
La rigueur de tes caresses, sur mes douleurs m’entretient,
L'infinie, ou tu étais à m'attendre Marie, et voir grandir ma flamme.
Ainsi marie va ma vie, ou je n'ai plus de repos
Tes pensées amoureuses ,sont noyées dans mon âme .
( Et dans ce naufrage d’amour, ma main caresse ta peau )
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