Le désir de vos lèvres, ô déesse ! Si mal prophétisés ;
Marie nous avons traversé librement l’Amour, sans nous contredire,
Et remplissent nos coeurs de pensées d'amour : et tu vas décrire,
Ce visage sage orné avec pitié : que les rayons amoureux du ciel ont diffusé.
Je fais arrêter mes pas, ai consterné, je pâlis, embrasé,
Vision protégée du soleil, par son visage qui ne cesse de luire ;
Parce que la grande lumière, de Marie était sans joie dans son martyre :
Qui m'a peint avec sa propre pâleur, dans ce bel esprit abusé.
À travers Marie, je pleure dans le soleil sa désespérance,
Mon désir fixe vient des étoiles, et je te caresse, dans ta douce confiance
L'amour a pleuré et j'ai pleuré avec amour ce qui t’appartient
Louez l'Amour de mes rimes, et vous jugerez si l'amant est bien sage,
Vous étiez cette étoile bénigne, et les doux appas d'une dame volage
Simplement regarder fixement sa beauté infinie se perdre dans mes liens.
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