La douceur s’immisce dans ton cœur,
Omettant les larmes de patience,
Nantie de joies et de bonheurs,
Grisent son âme sans défense.
Bien qu’il soit triste de souffrir,
Avec la solitude du jour.
Il savoure tous les plaisirs,
Suaves et purs de ton amour.
Embrasses tendrement son corps,
Rien ne vous sépare à présent,
Imbibes tes lèvres de son sort,
Noyant l’innocence de l’enfant.
Trembles fébrile empirisme,
Il est trop tard pour pardonner,
Mélanges les sens et l’érotisme
Enlaces cette fille tant désirée.
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L’immensité du vide nous invite, attirante,
Par amitié limpide et parfois effrayante.
Se laisser séduire par une vision bien trop brève
Pour de nouveau fuir la fiction de nos rêves. (DreamsOfTheD - 1995)