Amour, qui a ton espace en ce monde .
Amour, qui a ton espace en ce monde si ample,
Tu regardes ton auréole et la mienne s’égarer en ce jardin :
Tu contemples de ton regard, ces corps célestes divins,
T’étinceler comme une torche ardente, dans un Temple :
Je vois ton corps, et la beauté de ton visage en est l'exemple,
Qui évoque une Aurore, par son rayonnement au matin :
Je vois ton esprit amoureux, qui cimentera notre Destin,
Qui passe la Nature, en qui notre amour te contemple.
Je te regarde errer, toute pensive à soi,
T'emprisonner de virginités d’amour, et d’avoir raison de toi,
Allongée, et enlacée sur l’herbe bienheureuse
Tout en regardant sortir un perpétuel amour de tes yeux :
Et j’arrête mon regard à l'envie sur tes flammes amoureuses
Embellissant deux corps, sereinement enlacés dans les Cieux
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