Sur l'onde de ton amour, tu reposes sur trois-étoiles,
Ta pureté, dans l’océan, était comme cette grande amaryllis,
Amour très légèrement couché, ou votre corps se dévoile.
Je regardais dans vos yeux, cette mer infinie de tristesse que je lis.
Voici que tu m’apparus, triste silhouette affaiblie.
Sur un rêve ou les étoiles, ne faisaient que pleuvoir ;
Voici encor amour, que nos passions, étaient notre douce folie.
Murmure romantique, près de la mer au zéphyr du soir.
L’alizé caresse tes seins, et ces fleurs se déploient en corolle
Ton corps halé, est bercé dans la mer et les coraux ;
Tes lèvres frissonnent et s’enivre de baisers, d’une ardeur folle,
Sur ton amour inondé d’espoirs, s'inclinent tes rêves virginaux
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