Jolie jeune fille qui tomba amoureuse,
Qui suivit ce garçon – petite malheureuse.
Contre les conseils des tiens, pendue à ses lèvres,
Tu le laissas en toi, il te donna la fièvre.

Tu connus ses amis, tu voulus de leur vie ;
A ton insu aussi, ils en avaient envie :
Tout partager sur le pavé de la cité,
Et survivra sous la dalle notre unité.

Mais d’ivre tu voulus te sentir enivrante,
Et tu devins pour eux l’objet de leur tournante.

Tristesse de se faire abuser, des pièges sont tendus, horreur absolu qui restera dans sa mémoire !


Arlette

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Mon voeu cette année procurer du bonheur dans mes textes ou histoires.

un ecrit qui hélàs reflète ce qui arrive parfois , l'horreur quoi

Cette horreur, une tournante, me révulse rien que d'y penser et je ne comprendrai jamais la mentalité de ces jeunes qui la pratiquent ,sans aucun respect (mot auquel ils sont tellement attachés mais auquel ils ne donnent pas le même sens que moi !!!!! ) ni aucune pitié pour leur victime !


adn