AH! SANS SÅ’UR
Prenant l’ascenseur le censeur sans sa sœur susurre à son assesseur sans sourciller le sens d’amasser ses six sous.
Le masseur sensé soigner la sœur du censeur suscite la suspicion du sosie du censeur qui sait assez le sang sur les mains qu’a son masseur.
La sœur Sissi du censeur fut saucissonnée à l’ascension par son masseur si soûl sans son assistant si sot.
Le sosie sournois du censeur sasse et ressasse si ça se sait à Sion en Suisse que son masseur a sucé et saucé le sang de la sœur du censeur le scandale serait sans précédent.
Il sut aussitôt en l’absence du censeur et de son assesseur que l’honneur de son masseur sans souci serait sauf si son assistant si sot fut accusé.
Il plaça sans concession les six sous de l’assesseur pour acheter son silence et surseoir du triste sort de Sissi la sœur du censeur avant que ça se sache.
L’assesseur recensa et encensa la situation sociale sensationnelle et l’ascèse du masseur à son censeur et dénonça l’insouciance et les bassesses de cet assistant sans sel.
Quand le censeur vit que le sang de sa sœur fut sucé et saucé dans un seau sur le sol du masseur il sut que le seul suspect serait son assistant licencié.
L’assistant si sot accusé sans cesse aux assises sortit le linceul et la scie ramassés sur le sol du masseur sans scrupules.
On l’analysa et on sut que le sang de la sœur du censeur n’était pas le seul à salir ce linceul ni sa scie.
Le sang du masseur ainsi que celui du sosie et de l’assesseur du censeur se glaça sans attendre la sanction suscitée par ce sinistre assassinat.
Le masseur assassin ainsi que ses complices furent emprisonnés sur le champ tandis que le censeur remercia la perspicacité de l‘assistant du masseur en en faisant son assesseur.