C’est deux yeux bruns, deux flambeaux de ma vie
Qu'au-dessus des miens répand toute leur clarté.
Et t’ont fait esclave de l’amour et de ta jeune liberté,
Pour l'enfermer, dans Un amour passionné, qui t'asservit.
Par ces yeux bruns ou ma raison en fut ravie,
Et quelque part qu'Amour, t'avais arrêtée,
Le feu qui t'enflamme , et ne pas voir ailleurs autre beauté,
Tant que cette peinture amoureuse, trompe mon ennuie,
D Une autre, qui fut maîtresse à ce point,
Dans ses pensées secrètes, qui en moi ne se logent point,
D un autre feu d’amour, dont son corps s’enflamme :
J’ai ma main qui ne savait pas encor cultiver un autre nom,
Et sur mon papier, où mes vers, s'émaille sinon
D'une beautés que je sens au-dedans de mon âme .
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