Errant aux temps jadis, pour vos grâces retrouver,
Tapit dessous le châle, tissé des neiges d'antan,
Que n'ai-je donc attendu la fonte immaculée,
Pour ainsi percevoir pétales et parures.
Et vous qui estes si rare, je t'aime pour cela,
Amour en ligne droite sans perpendiculaire,
Nos vie point ne se croisent car parallelles sont,
Je voudrait vous rejoindre, mais tu ne le veux pas...
Tant violentée tu fus par soudards lansquenets,
Foulant du pied vos reins, arranchant vos atours,
À jamais disparue, pour morte vous laissant,
Qu'au désespoir je fus de te savoir perdue.
Errant aux temps présent, sur des Ecrins la Barre,
Fuyant mes congénères, espèce tant abhorrée,
Un matin de printemps que plus je ne croyais.
Ô rêve ! Céans ! Semblant crever mantille... Vous futes ...
Edelweiss, mon Amour, toi, vous !!! Voyez mes larmes de joie...
Méphisto
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