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Recherche qu’il voudra, cet amour qui me domine,
Et ceux qui sont épris de l’amour, qui emprisonne leurs esprits,
Qu'on ne feint de ne pas nommer, de cette passion qu’on prie,
Tu te sentais proche de mon cœur, ma douce héroïne.
La beauté de ton visage est un ornement, une torche divine
Qui me semble renaître de ta tristesse assombrie,
Tu cries ta passion, faite de douleurs, remords, larmes et cris :
Quant à moi je croirai encor, en cet amour, que tu t'imagine.
Sur la racine de nos passions, qui s’amorcent.
Malgré ce voile d’amour, et en dépit de mes forces.
Mais je crois Amour, qu’aucun ne nous vient des Cieux.
C'est lorsque nos deux corps, par un mariage uni,
Quitte l'amour, pour s’unir, et s’épanouir de leurs vies,
Tout amour semble fantastique, et tout amour étincellent nos yeux.
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