L’astre des nuits devient plus grandiose, au milieu de l'espace.
Et le ciel s'obscurcit, sur un amour entouré de Nuages
Flamboyant au lointain d'une beauté plus intense,
Ainsi, mon amour, ta splendeur se propage avec plus d'éclat.
Quand l'âme désespérée te désire. Que dire de ton visage.
Comparable à une obscure clarté, qui tombe des étoiles entourée de satellites,
Qui se rapproprie, ton charme silencieux et pénétrant
Et de toutes les choses en toi amour, qui existent ?
Au-dessus de nous ensembles, il y avait des fleurs sauvages
Un printemps amoureux, là où la rose de ton corps s’élève couronnée d'or
Là ! Ou les lys fleuris en feuilles lancéolées, en formant des spectres,
Je t'ai vue, déesse de l’amour, dans une brillante couronne.
De nué céleste et de vagues fiévreuse prendre ton vol, et t’évanouir dans la nuit
Comme cet amour, qui chasse l'angoisse dans mon cœur.
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