La lame grise de l’aurore déchire la voute de la nuit
Peu à peu le vent léger
Découvre la rose luisante des edelweiss

Les lèvres du soleil se fendent,
Rompant le silence d’une chanson éphémère
L’orient étire le pourpre des rivières
Sur la toile de l’horizon

Les oiseaux cessent leur chant

Filets d’aciers
S’effondrent les chevaliers de la liberté

Les cris les moteurs
Les camions bâchés
S’éloignent le temps
S’hypnotise

Ne survit qu’une amère tiédeur
Et le murmure des feuilles au-dessus de la fontaine
Les mouches volent autour des cadavres
Sautent de corps au corps

Le vent tiède caresse les cheveux de lumières //

Belle évocation de la guerre e de la violence au sein de cet univers de paix et de beauté.

un joli partage poétique

Bonjour Richards,
Un poème sombre, qui dénonce l'horreur des tueries; mais très beau !
Merci du partage.

Amitiés

Aidan

Bonsoir Richards,

Une belle poésie sombre et poignante sur la guerre !



Bonne soirée !
Mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.

Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)

j'ai eu des frissons

la paix et son contraire, le silence et le vacarme, un jardin fleuri et ruines pleines de noirceur

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https://www.edilivre.com/peregrinations-29f53ef39f.html/
https://www.edilivre.com/le-spleen-de-la-logique-de-l-absurde-2c490d0b23.html/

L'homme aime guerroyer et laisse derrière lui que désastre et désolation.

Au calme et à la magnificence de la nature s'opposent le bruit et la fureur de la guerre. De belles métaphores poétiques.

Amitiés.

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Essayons d'être heureux, ne serait ce que pour donner l'exemple.