"J'ai marché deux fois dans le même fleuve" est donc le dicton perse qui s'est déversé dans la philosophie grecque. Tel un oracle aurait dit cette dernière en ne pensant qu'à la longévité de la vie alors que celle-ci est faite du karma de la naissance et de la mutation du devenir. Car la passivité de l'être ne peut être entendue comme une foi en l'avenir ainsi qu'en se déversant, la boite de Pandore, est dans ce qui vilipende tous les maux pour n'en garder qu'un seul, l'espoir, ainsi qu'il est bien plus captieux que ceux-là à ne générer que l'amour de la circonstance. Car il ne fallait pas que je fasse l'amalgame entre la "fatuité" et la "facticité" tant la contingence de cette dernière n'avait pas la vanité meurtrière et opportune de cette première. Et pourtant le croisement des styles fit que je te connus toi la beauté de ma vie où tu étais en poésie tout l'attrait que je reconduisais pour m'avoir à ma merci. Mais par la plus impondérable des formes la providence me reconduisit sur ton chemin sans que je sache pourquoi l'amour n'a parfois aucun sens pour celle que je tenais comme étant la plus parfaite forme à mon désir. Car tu disais que j'étais de ton amitié à être dans ton réseau virtuel où pourtant aucune rencontre ne pouvait s'ouvrir à ta perspective comme d'un faux-fuyant qui ne veut s'esquiver que pour être dans un déni où, justement, la réalité est un parcours d'idéalité. Cependant jamais l'amour ne veut de moi dans ce mystère qu'on appelle la vie et qui n'est peut-être qu'un sortilège où il faut apprendre à saisir sa chance au moment où la superstition n'est plus qu'un incertain vivier où il faut au mieux contourner la roue de ce qu'on appelle la bienfaisance.
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La poésie n'a d'autre perspective que d'ouvrir l'imagerie mentale qui est la porte de l'imaginaire.
(citation personnelle)