Je viens de perdre en Décembre, un chaton tout crasseux qu'on avait récupéré auprès d'une poubelle dans une station d'autoroute.
Après une bonne douche, quelques câlins, il est devenu le chat de la maison jusqu'au début de ses 8 ans , quand on nous l'a empoisonné.
Si je ne comptais pas sur lui pour me donner la météo, la télé s'en charge suffisamment, il a été l'élément d'une stabilité et de réconfort par sa présence.
Depuis, tous les matins, je regarde l'endroit où il repose et il est le premier à toujours recevoir mon bonjour.
Ce n'est pas celui de l'illustration, non, il était roux avec des bandes et des ronds plus clairs dans le pelage.
Il me manque et de remonter cet ancien poème, composé vraisemblablement en sa présence, me fait à nouveau saigner le cœur.
Merci à toi Anonyme de me permettre d'en écrire le souvenir.
GUY