Libérés à Sybilla . . .
Libérés à Sybilla . . .
Entre ses murs étroits à l'abri dans son monde
Dans sa bulle prison, sa souffrance l'inonde.
Solitaire, elle vit, s'échappant de l'ennui
Puis rêve d'une clef clef aux brumes de sa nuit.
Dans un épais brouillard, elle a quêté sa trace
Mais la porte est fermée, son horizon s'efface.
Elle s'est concentrée puis bande son esprit
Pour retrouver son chemin quand s'élance ce cri.
Dans le ciel s'évapore un son imperceptible
Qui disparaît soudain aux échos inaudibles
Quand une voix lui parle et lui dit en secret
Je t'attendrai là-bas dans un souffle discret.
Nous serons deux oiseaux dans un futur espace
Planant vers des contrées où nos ailes s'enlacent
Sous des lueurs d'étoiles quand s'ouvriront nos coeurs
Tels des ébats d'Amour aux chevaux de bonheur.
Pascal.
Bisous à toutes et à tous.