Chacun de mes pas qui foule le bitume,
Inonde, mon être, qui se résume,
En une douleur morale béante,
Avec des frayeurs qui me hantent.

À en perdre la vie sur place,
Comme figé par l'horreur qui glace,
Même le soleil a des gelures,
Telle une menace et toute sa démesure.

Je traîne ce fardeau,
Si lourd est mon dos,
Que de scrupules... Etc
Qui me pèsent et m'acculent.

Trouble est ma vision,
Que faire ?! Sombrer dans la dérision ?!
C'est un état d'être où je demeure,
Chaque jour d'avantage je meurs.

----------------
mes recueils :
1
https://www.edilivre.com/un-temps-au-dessus-du-temps-2a2594e4cf.html

https://www.edilivre.com/un-temps-au-dessus-du-temps-2-2a25a45cff.html
2
edilivre /La rapsodie/

Bonjour Jean Yves,

Un poème bien triste pour un homme si jeune qui devrait péter la forme. La poésie est comme un refuge pour beaucoup d'entre nous. Je vous souhaite de retrouver un grand dynamisme avec toute mon amitié

Bonjour Jean Yves,

Une belle poésie où tu nous livres des confidences fort tristes !

Je te souhaite de retrouver un bel enthousiasme et d'aller mieux !

Bon courage !



Douce journée cher ami poète!
Toutes mes amitiés
Sybilla

----------------
Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.

Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)

Un poème très triste où le découragement domine !

Un constat bien sombre pour cette année... Espérons que la nouvelle année soit plus gaie pour toi

Bonjour jean yves

C'est un constat alarmant. Il faut espérer que demain soit un jour meilleur. Et se raccrocher à tout ce qui fait que ça nous anime.
Courage