Comment ne pas te saluer
Toi, mon amour ! Toi, mon prestige !
Que d'un bel esprit en érige
Ta beauté qui tient du sacré.
Mais pourquoi m'as-tu conspué
Moi au fait qu'on ne désoblige
Et aux astres qu'on ne corrige
Qu'à l'aune de la probité.
C'est dire où je t'ai adulé
En croyant te mettre à la pige
Et qu'à la page je néglige
Là où tu t'es faite prier.
Mais de ton sexe est la fierté
Qui m'a vite mis en litige
Où la vanité n'en mitige
Rien de ce que fut ma bonté.
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La poésie n'a d'autre perspective que d'ouvrir l'imagerie mentale qui est la porte de l'imaginaire.
(citation personnelle)