Ce sonnet avant de retourner dans le blanc de l'hôpital, pourquoi ils
ne le peignent pas en vert, c'est tellement moins stressant!
Le dernier peut-être, allez savoir, mais vous vivez à fond, la paradis vous y
êtes !
A-t-elle un jour vécu, ma superbe voisine,
Sur qui l’âge n’a gravé, le moindre sillon!
Son cœur, sa douceur palpitent à l’unisson,
Depuis son veuvage, le temps l’a fait divine!
Il est tant de vieillards que survivre chagrine,
Jusqu’au moment d’abandonner le baluchon
D’autres de la vie, profitent de sa chanson,
Même si parfois, elle se fit vipérine!
Alors en la regardant, bouillonne ma sève,
Que je devrai préserver pour que tard s’achève,
Mon existence, en tant que simple terrien!
Mon regard éperdu dans sa jolie prunelle,
Ah ! mourir en serrant, son buste aérien,
Comme bercé de sa senteur qui m’ensorcelle !